Un livre intime et sensible, publié aux Éditions de La Flandonnière, le 22 novembre 2024. Les maisons ont une âme, elles nous content leur histoire et celle de leur village, plus longtemps que les grands-mères. Les demeures des marchands de toile (...)

Si le lecteur s’est laissé happer par l’élégant bijou "Scarabée", combo réussi du poète François Sauvanot et de l’illustrateur Alexis Bruchon, qu’il n’hésite pas à prolonger sa rêverie en s’offrant ou en se faisant offrir "Refaire le monde". La couverture (...)

Maurice Rabin. Publié aux Éditions des Monts d’Auvergne le 22 novembre 2024. Savez-vous que des plantes communes, aux nombreuses vertus pour votre santé, croissent dans la nature, tout près de chez vous (pissenlit, plantains, verveine et autres...) (...)

Un livre de François SAUVANOT, illustration Alexis BRUCHON, publié aux Éditions La Nouvelle Pléiade. La Quatrième de couverture donne le ton : Ni haïkus, ni aphorismes Simplement trois vers, En quête d’essentiel, Humbles (...)

Par Amandine PERIER, Pierre IWAMURA. Publié aux Éditions de La Flandonnière le 30 octobre 2024. Dans cet album aux teintes douces, Amandine Perier compose un récit à hauteur d’enfant de son quotidien de petite fille des années 1990 au Mont-Dore. Les (...)

Un livre de Pierre Kalmar, publié en octobre 2024. 13 € ; ebook : 2,70 € Amis lecteurs, amies lectrices, vous allez entrer dans l’inconnu, dans une dimension située au-delà des classiques notions de temps et (...)

Cela fait un moment que je n’attends plus rien de la politique, convaincu que si des changements fondamentaux devaient survenir, ils ne viendraient pas de là. Mais il est tentant de se rappeler de temps à autres au bon souvenir des dirigeants. La (...)

Il est plutôt du genre à passer la journée à écumer les bistrots de mon quartier. Dès le matin au rosé, avant d’embrayer le midi au Ricard, l’après-midi au demi pour un retour à la momie à l’apéro du soir. Il semble ainsi avoir ses rites et ses petites (...)

Pas si facile, de lire sur la plage. Allongé sur le dos, c’est presque impossible. Le soleil éblouit, il faut tenir à bout de bras le livre au-dessus du visage. C’est bon quelques minutes, et puis on se retourne. Sur le côté, appuyé sur un coude, la (...)

Nous sommes tous une arche de Noé. Tentative pour sauver du déluge ce qui nous entoure. Ce que nous volons. Ce que nous pouvons. Peu et pourtant l’ essence des choses. Des êtres. Une certaine forme d’amour. Peut-être l’amour total et sa métamorphose. (...)

Des gens installés, j’en vois de partout. Installés dans leurs certitudes, dans leurs habitudes, dans leur confort. Dans leur milieu culturel, professionnel, social. Dans leur sociabilité et leur popularité de quartier. Il m’arrive d’en croiser dans (...)

Je plaisante, mais il n’est pas rare de rencontrer des panneaux invisibles qui nous interdisent de faire les choses à des fins ludiques. Il y a tant de non-dits, d’obligations, de circonstances pour nous enfermer dans le sérieux des activités (...)

Si j’avais été jardinier, je vous aurais parlé de la manière de cultiver les plantes mais je ne suis qu’un amateur de jardin ! Si j’avais été peintre, je vous aurais parlé des nuances et des couleurs du jardin, j’aurais même peut-être pu vous faire des (...)

Je vous rassure, ça va être court ! Il était plutôt simple, blanc avec seulement quatre petits points noirs, avec un marli presque gris sur le sommet des ailes, il était beaucoup plus qu’une chenille habillée ! Mais surtout habité d’une vivacité et (...)

Mai bon dieu, mai c’est bien sûr ! Et qu’est-ce que c’est beau. Le lilas et son odeur que les parfumeurs essaient d’enfermer dans des fioles à je ne sais plus combien d’euros le millilitre. Honte à vous fesse-mathieu mercantiles qui emprisonnez les (...)

Que ce soit dans son jardin ou en mettant le nez hors de chez soi, la beauté du mois de mai enchante le regard, comble les narines par ses fragrances, la nature offre ce qu’elle a de plus beau dans son épanouissement naturel et enchanteur. Tout (...)

Poilu entièrement, bien fourni en oreilles, sauteur à ses heures, tel se présentait le garenne, au débouché de son terrier. D’un naturel plutôt jovial, couché de bonne heure le matin, après avoir fréquenté une bonne partie de la nuit les terrains (...)

Plutôt que rester mes deux pieds dans le même sabot, les doigts de pied en éventail, j’ai préféré faire un croche-pied à la morosité et au risque de vous paraître un peu casse-pied, comme je chante comme un pied, j’ai décidé de vous parler. Encore faut-il (...)