Chronique, fort mitée, du cimetière Saint-Jean, de Thiers
Le présent volume, qui reprend les éléments historiques de mon premier titre, et seulement ceux-là, s’augmente de mes récentes découvertes.
Les écrits consultés les plus anciens datent de 1791, les plus récents, de 2010.
Entre ces deux dates, les lacunes sont extrêmement importantes.
Les pièces disponibles font état des agrandissements à réaliser de manière urgente, des réparations impérieuses qui menacent la vie du site et des aménagements destinés à embellir l’endroit, à le rendre plus commode. D’autres documents abordent d’essentielles questions de salubrité et des problèmes rencontrés avec les familles des défunts. L’architecture des sépultures fera l’objet d’un prochain volume.
Quand on considère la teneur des documents, il est clair que nous nous heurtons souvent à une logique de nature administrative, très terre-à-terre, qui n’accorde que peu d’importance à l’histoire dans ses dimensions philosophiques, psychologiques et poétiques.
Il m’arrive aussi de devoir me déporter vers le cimetière des Limandons, mais aussi vers les disparus cimetières Saint-Genès, du Moutier ainsi que celui de l’Hôpital.
Dans mon volume initial, je ne m’étais pas même interrogé sur ce que l’on entendait par cimetière, tellement le sens de ce terme me paraissait évident.
Ce nouvel opus fut l’occasion de me pencher sur cette définition et de découvrir des aspects que j’étais parfois loin de soupçonner.
J’ai également établi un rapide historique des lieux de sépulture depuis la préhistoire, sans toutefois trop m’étendre sur les périodes les plus reculées, afin de ne pas commettre de trop graves erreurs.
En revanche, j’ai bien insisté sur les législations qui furent mises en place dès l’Antiquité.
À présent, je vous invite à me suivre dans les allées du cimetière Saint-Jean.
Pierre Kalmar
Le livre est aussi disponible à la librairie Trenslivre à Thiers.
Voir en ligne : Le livre, au prix de 13,50 €