Les amoureux du pont Saint-Pierre

Ce livre s’inspire de ce petit film.

Cet ouvrage est rédigé à la première personne du singulier. Cela ne signifie pas que le héros soit Pierre Kalmar, l’auteur de ce récit. Gêné depuis longtemps par l’intrusion des auteurs dans les nouvelles et les romans, il a choisi de laisser s’exprimer librement mes protagonistes et donc d’utiliser le "Je".

Même si les personnages de cet ouvrage sont imaginaires, ils s’inspirent forcément en partie de gens qu’il a côtoyés, mais il a fait en sorte de ne pas fournir d’éléments susceptibles de permettre une identification.
Il a emprunté à son passé Montluçonnais et à ses récents passages dans cette ville des éléments descriptifs. Ceux qui le connaissent savent à quel point il accorde de l’importance aux lieux.

Vous remarquerez aussi que son texte comprend des références cinématographiques, musicales et littéraires. Il fait principalement allusion à Martine Carol (1920-1967), très célèbre actrice qui vécut son apogée dans les années 1950. Il parle aussi de Georges Chaulet (1931-2012), écrivain qui connut la gloire, principalement pour avoir créé le personnage de Fantômette, série phare de la bibliothèque rose. Il cite aussi Giacomo Meyerbeer (1791-1864), qui fut essentiellement renommé pour ses "grands opéras romantiques" et dont le succès retentissant dépassait alors celui de tous les autres compositeurs lyriques. Il cite aussi un extrait de la comédie musicale intitulée " Attention ", de Jean-Pierre Mirouze, André Georget et Mitzi Bravine.
Il se réfère également à quelques célébrités montluçonnaises dont Suzanne Lépineux (1921-2010), qui fut professeure au conservatoire de Montluçon.
Afin d’éviter d’éventuels rapprochements avec des séries télévisées qu’il n’apprécie guère, il tient à préciser que cette grosse nouvelle s’inspire d’un chef-d’œuvre de la série "La quatrième dimension ". Il s’agit du moyen métrage d’Alan Crosland JR, intitulé " Ring-a-ding girl " (titre français : "Retour en force"), réalisé en 1963, qui met en vedette l’infortunée Maggie McNamara (1928-1978).

Ah, une chose encore ! S’il respecte la langue de Georges Chaulet dans les passages narratifs, une partie des dialogues est composée en langage parlé. Il manque notamment de nombreuses négations. L’un des personnages s’exprime au contraire de manière sophistiquée, en respectant même de façon stricte la concordance des temps. Son idée était de rendre les échanges plus réalistes, en conformité avec le caractère des deux principaux protagonistes.

Ce récit gay, sentimental et poétique, se déroule à Montluçon, dans un contexte de vie après la vie.

Possibilité de commande à Trenslivre, à Thiers.


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